Avec 4 photographies de miroirs noirs "Puits de Lumière" et deux dessins "Visage" de Charlotte Hatté
Présentation de l'œuvre :
L’œil ne s’arrête pas au monde. Pas plus que le monde ne l’arrête. C’est que regarder n’a pas de fin quand voir est traversé de langage. Ainsi écrire n’a qu’un mode, l’infini d’une voix traversée. Le mode de tous les présents.
Le monde n’est alors ni un objet de contemplation, ni un lieu, pas plus qu’un séjour mais une relation inventée dans un dire. La voix est ce qui invente l’œil, d’où ce mouvement et ces trajectoires qui relèvent avant tout du rêve où chaque ligne est une veille à l’écoute de ce qui passe. De nous, en nous. Parce que cette voix est aussi de toutes celles que j’écoute, et qui m’entendent. Comme le regard est échange ou passage amoureux, où s’invente une voix-monde, voix plurielle et nombreuse, c’est-à-dire ombreuse mais jamais nombrable, et qui se meut de tous ses silences.
Cette écoute de ce qui nous travaille, de ces emportements pleins d’affects et de résonances, de ces voix pleines de corps sans lieu ni assignation, est inséparable d’une recherche d’un sens du continu dont l’écriture est la ligne. Une prose qui n’est recherche que de ce qui la continue. Le continu de ce qui t’invente. Et te découvre. Une prose continue. De je à tu.
Le monde n’est alors ni un objet de contemplation, ni un lieu, pas plus qu’un séjour mais une relation inventée dans un dire. La voix est ce qui invente l’œil, d’où ce mouvement et ces trajectoires qui relèvent avant tout du rêve où chaque ligne est une veille à l’écoute de ce qui passe. De nous, en nous. Parce que cette voix est aussi de toutes celles que j’écoute, et qui m’entendent. Comme le regard est échange ou passage amoureux, où s’invente une voix-monde, voix plurielle et nombreuse, c’est-à-dire ombreuse mais jamais nombrable, et qui se meut de tous ses silences.
Cette écoute de ce qui nous travaille, de ces emportements pleins d’affects et de résonances, de ces voix pleines de corps sans lieu ni assignation, est inséparable d’une recherche d’un sens du continu dont l’écriture est la ligne. Une prose qui n’est recherche que de ce qui la continue. Le continu de ce qui t’invente. Et te découvre. Une prose continue. De je à tu.
Recueil de poèmes , 120 pages, 15 euros.
Sorti le 01/10/2012.
ISBN : 978-2-911648-54-0.
Etat : Disponible
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